Le pitch:
Ça commence dans le Nord. Ali se retrouve avec Sam, 5 ans, sur les bras. C’est son fils, il le connaît à peine. Sans domicile, sans argent et sans amis, Ali trouve refuge chez sa sœur à Antibes. Là-bas, c’est tout de suite mieux, elle les héberge dans le garage de son pavillon, elle s’occupe du petit et il fait beau. A la suite d’une bagarre dans une boîte de nuit, son destin croise celui de Stéphanie. Il la ramène chez elle et lui laisse son téléphone. Il est pauvre ; elle est belle et pleine d’assurance. C’est une princesse. Tout les oppose. Stéphanie est dresseuse d’orques au Marineland. Il faudra que le spectacle tourne au drame pour qu’un coup de téléphone dans la nuit les réunisse à nouveau. Quand Ali la retrouve, la princesse est tassée dans un fauteuil roulant : elle a perdu ses jambes et pas mal d’illusions. Il va l’aider simplement, sans compassion, sans pitié. Elle va revivre.
Loin du mélo, l’émotion est pourtant bien là.
Un peu trop de violence à mon goût. J’aurais que l’amour et la douceur transpercent davantage, mon côté fleur bleue peut être…
Assurément de Rouille et d’os est un film qui retourne, prend aux tripes et sucite un fort sentiment de gratitude.
Tout à coup mes tracas m’ont paru si futiles, la fatigue accumulée n’était plus si pesante et je me suis sentie chanceuse.
Une parenthèse qui fait du bien, qui permet de rompre avec le quotidien, pour mieux l’apprecier dans sa douceur et sa simplicité.
C’est donc le coeur léger que je suis rentrée samedi, après la séance, retrouver les deux hommes de ma vie, mon prince et mon tout petit.
Le coeur gai et joyeux d’être ensemble, uni, en famille et en bonne santé.
What else?!