L’alimentation aussi évolue

Faire d’autres choix.

Commencer par ne pas remplacer le micro-ondes.

Intégrer du bio, un peu. Puis beaucoup.

Consommer de moins  en moins de produits industriels.

Moins de viande.

Plus de fruits.

 Manger des légumes crus plus souvent.

Ajouter des graines aux salades et des graines germées.

Choisir les céréales semi-complètes.

Consommer moins de sucre raffiné.

Limiter les produits laitiers, à base de lait de vache, dans un premier temps.

Privilégier les productions issues de l’agriculture locale et raisonnée.

Changer les modes de cuissons et la façon de cuisiner, de consommer.

Evoluer, doucement mais surement, sans brusquer.

Juste s’écouter.

La gratitude de l’instant présent

Quand on s’occupe d’enfants en bas âge on est connecté de façon très puissante à la réalité. L’ici et maintenant reprend ses droits, il y a peu de place pour le reste.

Les enfants m’apportent beaucoup. De la joie, de la douceur de vivre, de l’émerveillement et du rire.

Ils m’aident aussi à grandir, à apprécier l’instant, à mieux m’organiser.

Les moments libres, sont plus rares, ils reprennent une dimension sacrée.

L’envie d’aller à l’essentiel, ne pas gaspiller ces moments libres, choisir de les remplir de beau, de bonheur, d’activités, de rencontres, d’échanges ou de partages qui me font du bien.

Et rien d’autre!

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Lâcher la colère

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J’observe la colère qui parasite les relations.

Cette colère qui empêche de profiter du bonheur, même quand il est juste là, prêt à être cueilli.

Cette colère, qui gâche tout, qui détruit, qui fait mal.

Un rien peut la déclencher, elle émane d’une blessure ouverte.

Parfois la colère me traverse, comme une vague violente. Je ne sais qu’en faire, ni comment m’en défaire.

Et puis le calme revient, aussi vite.

On est tous, de plus en plus amené à lâcher prise vis à vis de notre colère.

S’y accrocher est un choix bien risqué!

Cultiver la compassion, pour aider l’autre dans la gestion de ses émotions, dans le non jugement.

Déculpabiliser et transmuter ses émotions, via le sport, l’art, le chant ou autre. A chacun de trouver ce qui lui fait du bien pour extérioriser, voire même, qui sait, en tirer quelque chose de constructif…