Lâcher la colère

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J’observe la colère qui parasite les relations.

Cette colère qui empêche de profiter du bonheur, même quand il est juste là, prêt à être cueilli.

Cette colère, qui gâche tout, qui détruit, qui fait mal.

Un rien peut la déclencher, elle émane d’une blessure ouverte.

Parfois la colère me traverse, comme une vague violente. Je ne sais qu’en faire, ni comment m’en défaire.

Et puis le calme revient, aussi vite.

On est tous, de plus en plus amené à lâcher prise vis à vis de notre colère.

S’y accrocher est un choix bien risqué!

Cultiver la compassion, pour aider l’autre dans la gestion de ses émotions, dans le non jugement.

Déculpabiliser et transmuter ses émotions, via le sport, l’art, le chant ou autre. A chacun de trouver ce qui lui fait du bien pour extérioriser, voire même, qui sait, en tirer quelque chose de constructif…

En février

Février, c’est LE mois qui marque le blues de l’hiver. On en a marre, on aimerait passer à autre chose. Bientôt bientôt…

Les journées se rallongent, le changement se prépare.

En février, dans la continuation du mois de janvier, la communication est à l’honneur.

Fini les messages détournés, on va à l’essentiel, on appelle un chat un chat, on met les pieds dans le plat!

On dit ce qu’on pense, on parle vrai, on parle de soi, de ses émotions et sentiments, sans faux semblant.

Les tabous tombent d’eux mêmes, les miroirs nous aident à sortir du déni, en toute simplicité.

Ca remue dans les chaumières! Les vieux schémas, s’effondrent, la vérité reprend ses droits.

Pour moi, ambivalence entre colère et gratitude, accepter les émotions pour se qu’elles sont, laisser couler, sans s’y accrocher.

J’ai été amenée à assoir mes choix, mes positionnements et responsabilités.

J’ai refusé de porter les fardeaux qui ne m’appartiennent pas ainsi que la culpabilité.

mimosa 2013

Pratique de l’ho’oponopono par l’émotion #4

Encore plus efficace que de pratiquer « mentalement » le ho’oponopono (voir ici ici et ) en répétant (à voix haute ou dans sa tête) les mots je t’aime, pardon, merci, l’idée est de ressentir l’émotion associée à chacun des mots.

Dans une situation concrète cela suppose accueillir sa peur ou sa colère, reconnaître sa présence sans jugement (ok tu es là), la remercier (se connecter par le ressenti à la gratitude), se pardonner et laisser l’amour faire le reste.

Pour la colère, en ce qui me concerne, je dois attendre un peu que l’orage soit passé, que l’émotion soit moins forte, avant de pouvoir transmuter.

Mais à un moment donné, quand je lâche prise, la gratitude, le pardon et l’amour peuvent prendre leur place et guérir la part blessée.