En formation cette semaine, j’ai entendu plusieurs fois, lorsque l’on se présentait et évoquait nos motivations à tour de rôle « je suis là parce que je n’ai pas le choix ».
Cette phrase entendue souvent autour de moi ces derniers temps, principalement dans le cadre d’une passivité professionnelle, me fais réagir.
Pas besoin de mettre ma cape de sauveur, je sais que chacun chemine à son rythme, sur la route qu’il créé -qu’il le croit ou non – et que c’est très bien comme ça.
Pourtant reprendre les rênes de sa vie, c’est fun et pas si compliqué. Accepter ses responsabilités ouvre bien des portes, dont la possibilité de choisir de se reconnecter à soi. L’homme a-t-il peur de sa propre grandeur, au point de brimer sa liberté ?
Sortons de cet espace de victime.
Osons laisser place au meilleur.