L’alimentation en pleine conscience

J’ai pris pas mal de poids avec deux grossesses rapprochées. Ma petite à 18 mois, les kilos de la grossesse se sont envolés, mais un certain nombre de kilos de la précédente sont restés.

Je suis sensible à ce que je met dans nos assiette, à la qualité de notre alimentation. Pourtant ces trois dernières années, j’ai souvent mangé dans le stress, trop vite… trop tout simplement.

La pleine conscience avec des enfants en bas âge, avec la fatigue, les nuits trop courtes et les journées intenses c’est pas fastoche!

Maintenant qu’ils sont plus autonomes, on prend nos repas ensemble. Le temps du repas n’est pas très long, mais j’arrive à manger et apprécier mon plat!

Je n’ai pas le désir de faire de régime avec des interdictions, où tout est contrôlé, pesé, mesuré. D’ailleurs j’ai viré deux balances, celle de la cuisine et celle de la sdb, qui ne fonctionnaient plus.

Petit à petit je me reconnecte à mes sensations : faim, satiété… J’identifie les émotions fortes, l’agacement, la fatigue, qui me donnent invariablement envie (besoin?) de manger pour « tenir ».

J’ai envie de remettre mon corps en mouvement, pas dans un défi de compétition, juste me sentir belle et bien vivante.

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Lâcher la colère

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J’observe la colère qui parasite les relations.

Cette colère qui empêche de profiter du bonheur, même quand il est juste là, prêt à être cueilli.

Cette colère, qui gâche tout, qui détruit, qui fait mal.

Un rien peut la déclencher, elle émane d’une blessure ouverte.

Parfois la colère me traverse, comme une vague violente. Je ne sais qu’en faire, ni comment m’en défaire.

Et puis le calme revient, aussi vite.

On est tous, de plus en plus amené à lâcher prise vis à vis de notre colère.

S’y accrocher est un choix bien risqué!

Cultiver la compassion, pour aider l’autre dans la gestion de ses émotions, dans le non jugement.

Déculpabiliser et transmuter ses émotions, via le sport, l’art, le chant ou autre. A chacun de trouver ce qui lui fait du bien pour extérioriser, voire même, qui sait, en tirer quelque chose de constructif…

En février

Février, c’est LE mois qui marque le blues de l’hiver. On en a marre, on aimerait passer à autre chose. Bientôt bientôt…

Les journées se rallongent, le changement se prépare.

En février, dans la continuation du mois de janvier, la communication est à l’honneur.

Fini les messages détournés, on va à l’essentiel, on appelle un chat un chat, on met les pieds dans le plat!

On dit ce qu’on pense, on parle vrai, on parle de soi, de ses émotions et sentiments, sans faux semblant.

Les tabous tombent d’eux mêmes, les miroirs nous aident à sortir du déni, en toute simplicité.

Ca remue dans les chaumières! Les vieux schémas, s’effondrent, la vérité reprend ses droits.

Pour moi, ambivalence entre colère et gratitude, accepter les émotions pour se qu’elles sont, laisser couler, sans s’y accrocher.

J’ai été amenée à assoir mes choix, mes positionnements et responsabilités.

J’ai refusé de porter les fardeaux qui ne m’appartiennent pas ainsi que la culpabilité.

mimosa 2013