En mai

En mai, je sors la tête de l’eau!

En mai, j’ai envie de continuer à prendre des moments off. Ce sont mes soupapes, qui me permettent de tenir la barre du navire au quotidien.

En mai, je continue mon ménage de printemps. J’ai ressorti mon livre fétiche, Simplifiez votre intérieur. Il me donne instantanément la pêche pour démarrer. J’ai fait une liste de petites actions concrètes, pour me guider.

En mai, je m’occupe des vacances d’été. Trouver une destination adaptée avec deux enfants en bas-âge, pour que chacun puisse en profiter. Les critères? Une petite maison avec jardin ou appartement avec terrasse, pour prendre les repas dehors. A la campagne ou à la montagne, pas trop loin d’une jolie rivière.

En mai, je prends soin de moi. Je prévois un RDV cooconing par mois (non le dentiste ça ne compte pas!), pour les trois mois qui viennent. Chiche?

En mai, je me concentre sur ce qui va dans ma vie, sur ce qui me fait du bien à l’âme, qui rend joyeuse et positive. Je cultive mon bonheur.

En mai, je m’accorde trois plaisirs chaque jour. Une sieste, un moment de lecture, écrire sur le blog, une balade, un bon film, un moment de relaxation, un soin Reiki…

En mai, je prépare en douceur ma rentrée. Je réfléchis à l’organisation boulot que j’ai envie de mettre en place en septembre, pour concilier vie familiale et professionnelle. Sans oublier une part pour l’épanouissement personnel.

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En avril

Le printemps tarde à pointer le bout de son nez. Peu importe…

J’ai envie de rangement, d’épurer, de simplifier encore, de me délester du vieux.

J’ai envie de légumes, de salades, de soupes, de graines germées.

J’ai envie de me centrer sur mes priorités, ma petite famille, notre nouvelle vie à quatre, qu’on apprivoise.

J’ai envie de marcher, de bouger, de remettre mon corps en mouvement, tranquillement.

J’ai envie de trouver du temps pour moi, pour souffler un peu et faire autre chose que m’occuper d’eux. Partir (quelques heures) pour mieux revenir.

J’ai envie de couleurs, celles de l’arc en ciel, de gaité, de joie.

J’ai envie de renouveller mon abonnement à la bibliothèque et de bouquiner.

J’ai envie de fleurs aux couleurs vives.

J’ai envie de reprendre la pratique des soins et envois Reiki.

J’ai envie de me ressourcer à la campagne, de me balader, en famille.

Reiki et respect du libre arbitre

Pendant la formation pour l’initiation au troisième degré de Reiki, on a beaucoup parlé de l’importance du respect du libre arbitre et du risque d’endosser le rôle du sauveur.

C’est tellement facile de se laisser piéger! On a entre nos mains , un outil merveilleux, le Reiki, et la faculté de canaliser et transmettre cette énergie de guérison et d’amour à la fois douce et très puissante.

Or, le respect du libre arbitre est une règle absolue. Après tout, à chacun son cheminement, ses choix (conscients ou pas, peu importe), ses épreuves et ses joies qui en découlent.

Quand on capte ce qui cloche, que le schéma mental ou émotionnel saute aux yeux et qu’en plus on a un outil pour aider la personne, c’est tentant, avouons-le.

Mais puisqu’il n’y a pas de hasard, interférer sans que l’autre n’ait rien demandé (sans sa sollicitation ou son accord) c’est emputer le libre arbitre, et ne pas reconnaître l’aspect sacré de sa part créatrice.

Comment faire alors? Parfois, ne rien faire s’avère la solution la plus appropriée et aimante. Laisser l’autre gérer sa vie et assumer les responsabilités et les conséquences de ses choix, se tourner vers la palette d’outils qui lui parle.

Etre là, et proposer le Reiki à ceux qui le demandent, simplement, sans forcer ni convaincre.