« Te sentir bien » ,
c’est la façon de te dire à toi-même qie ta dernière pensée était vérité,
que ta dernière parole était sagesse,
que ta dernière action était amour.
Conversation avec Dieu, Tome II, Neale Donald Walsch
» Avez-vous remarqué que, lorsque votre esprit est focalisé sur une personne,
sa présence se manifeste partout où vous allez?
Mon amie Sophie appelle cela les coïncidences
et Mr Simpless, mon ami pasteur, la grâce.
Il pense que quand on aime profondément une personne ou une chose,
on projette une énergie à travers le monde qui lui apporte la « fécondité«
Le cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates
Notre société est une société mentale. On nous a appris, dès notre plus jeune âge, à vivre à partir de nos pensées.
On nous a appris ce que nous devions faire, ce que nous ne devions pas faire,
ce qui est bien, ce qui est mal,
ce qui est bon, ce qui est mauvais,
ce qui est beau, ce qui est laid,
ce qui se fait, ce qui ne se fait pas.
On nous a appris à vivre à partir de notre tête. On appelle ça l’éducation (celle reçue par nos parents, celle transmise à l’école), la vie en société avec tous ses codes, avec ses institutions, avec ses innombrables règles.
Ce processus de domestication est propice au développement de la peur.
Peur de ne plus être aimé si nous ne faisions pas ce que l’on attendait de nous.
Ainsi on nous a appris à nous couper de notre précieux ressenti,
de nos émotions, de notre intuition, vous savez cette petite voix qui nous guide.
On nous a appris à nous couper de notre connection au savoir véritable, qui est transmis par la force de vie, naturellement et sans apprentissage.
Ce sont nos croyances, nos pensées et nos paroles (qui sont d’abord des pensées) qui limitent notre pouvoir créateur. On nous a appris a fonctionner comme ça, on nous a montré un chemin avec des barrières et des limites. Mais il y en a d’autres…
Pardonnons à ceux qui ne savaient pas…
En réalité notre pouvoir créateur est infini.
Il va là où nous l’emmenons,
il va là où vont nos pensées, nos émotions,
il traverse l’invisible pour se manifester dans notre monde réel.
Notre vraie nature n’est pas de vivre en suivant notre mental et nos croyances figées.
Notre véritable nature est de vivre à partir du coeur.
La liberté fait-elle trop peur?
A partir du coeur, conduisons notre mental, qui est ni plus ni moins notre serviteur, là où nous voulons aller.
Notre libre arbitre sert à ça, à choisir le chemin que nous voulons emprunter.
ps: Don Miguel Ruiz explique bien le processus de domestication dans les accords toltèques