A votre ennemi: le pardon;
A un opposant: la tolérance;
A un enfant: le bon exemple;
A votre père: la déférence;
A votre mère: une conduite qui la rendra fière de vous;
A vous-même: le respect;
A l’humanite: la charité
Swami Sivananda
A votre ennemi: le pardon;
A un opposant: la tolérance;
A un enfant: le bon exemple;
A votre père: la déférence;
A votre mère: une conduite qui la rendra fière de vous;
A vous-même: le respect;
A l’humanite: la charité
Swami Sivananda
Là où il n’y a plus d’espoir, sème la foi,
Là où il y a de la tristesse, sème la joie,
Là où il y a le doute, sème la confiance,
Là où il y a la différence, sème la tolérance,
Là où il y a de l’amertume, sème la douceur,
Là où il y a le froid, sème la chaleur,
Là où il y a de la méchanceté, sème la compassion,
Là où il y a de la rancune, sème le pardon,
Là où il y a de la colère, sème de l’amour,
Sème de l’amour…
Derrière le perfectionnisme il y a la volonté de tout contrôler, pour que tout soit au plus juste, le mieux possible. Le perfectionnisme cache la peur. Peur de ne pas être accepté tel quel, de ne pas être aimé. Si je suis parfait alors je mérite d’être aimé.
Il y a aussi un fort besoin de reconnaissance, de justice et d’approbation. Le regard de l’autre est important pour le perfectionniste. La moindre remarque est perçue comme une critique, avec un sentiment de honte et de culpabilité.
La peur du jugement est tellement forte, que le perfectionniste se coupe de son ressenti.
Chercher à s’améliorer, pousse vers le haut, vers l’évolution. Pour autant doit-on se limiter, ou pire renier ce que l’on est, maintenant? Non évidemment!
La volonté de perfection rend la vie dure. Rien n’est jamais assez. Pas assez bien, très ceci ou trop cela, rien n’est jamais assez parfait puisque l’on peut toujours faire mieux! Le perfectionniste est intransigeant.
Avez-vous l’impression que vos madeleines ne sont pas suffisamment dorées, votre maison devrait être mieux rangée, votre jardin plus fleuri, le linge n’est très bien repassé, votre corps trop ceci ou pas assez cela, vos photos pas très bien cadrées, vous n’auriez pas dû dire ceci ou agir comme cela? etc etc, la liste est sans fin.
Le perfectionniste se compare (ou se sent comparé), s’évalue, se mesure aux autres.
Et puis un jour, prise de conscience (comme ici). On voit son propre reflet dans le miroir de l’autre.
Tout s’éclaire, se met en place, une porte s’ouvre. Une porte vers soi, vers l’acceptation, le non jugement.
Un chemin bordé de douceur où l’on s’autorise à être qui l’on est… à la perfection :)
On s’autorise à être humain, avec des émotions à vivre, à faire des choses nouvelles, parce qu’on a envie de les faire, même si au début c’est pas parfait, tant pis, c’est pas si grave!
Plus on se recentre au présent et plus on entre dans un espace de liberté, de joie, où l’on profite pleinement des plaisirs de la vie, sans se focaliser sur ce qui pourrait être mieux! On devient plus tolérant, avec soi, avec l’autre aussi.
Tout est parfait, tel quel, maintenant.
Faîtes de votre mieux et soyez vous-même!
PS: un bel exemple d’acceptation ici. Cette nana est très inspirante, pétillante, juste parfaite! Vous trouvez pas?
PPS: bien sûr la perfection concerne l’ensemble de l’être, pas uniquement l’aspect physique…