Votre vie est la manifestation de votre rêve personnel. Si vous arrivez à transformer le programme de ce rêve, vous deviendrez un maître du rêve. un tel maître fait un chef-d’oeuvre de sa vie. Mais c’est un grand défi que de parvenir à maîtriser le rêve, parce que les humains sont généralement esclaves de leurs rêves. La manière dont ils apprennent à rêver est préétablie. Compte tenu de toutes nos croyances qui nous font croire que rien n’est possible, il est difficile d’échapper au Rêve de la Peur. Pour se réveiller du Rêve, il faut savoir le maîtriser….
On me demande souvent comment faire pour attirer plus d’abondance et de prospérité.
Avant le faire, il y a l’être. Etre c’est notre essence, notre état naturel, ce que nous sommes. Nous sommes abondance. L’abondance est en nous. En prendre conscience c’est déjà un grand pas. Se connecter à notre vraie nature est une autre étape.
Concrètement, pour celles et ceux qui veulent plus d’argent, le plus simple est de commencer par donner. Donner crée un vide et appelle recevoir (nous en reparlerons…)
Travailler sur le mental, les émotions et toutes les croyances associées à l’abondance et à la prospérité, ça aide, c’est sur.
Le plus simple, pour débuter, c’est de se focaliser sur l’abondance. C’est un excellent moyen pour l’amplifier (testé et approuvé :)
Pour se connecter à l’abondance, une balade dans la nature, est un moyen très efficace, surtout au printemps.
La nature renait, refleurit, il y a pléthore de graines, fleurs, feuilles, de pousses. L’abondance est partout, on ne peut pas la manquer :)
Et puis, avec un peu d’entraînement on peut facilement voir l’abondance partout, au quotidien: dans un bol de riz, à la bibliothèque, au supermarché, dans un musée, sur un parking etc etc.
Se focaliser sur l’abondance c’est voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide. Cela devient un jeu, un état d’esprit, un état d’être.
Je vous le dit tout de suite les films historiques, c’est pas trop mon truc.
Mais celui là c’est pas pareil! C’est avant tout l’histoire d’un homme dont il s’agit et d’une belle amitié aussi.
Colin Firth joue divinement bien le rôle de George VI, aka le Duc de York ou Berthie pour les intimes.
Il est bègue, n’arrive pas à aligner trois mots. C’est plutôt embêtant parce qu’il doit occuper la fonction de Roi, pour remplacer son frère qui abdique, alors que l’Angleterre est à deux doigts d’entrer en guerre avec l’Allemagne. Et en face Hitler semble plus qu’à l’aise pour faire passer son message.
Bref, sacré challenge que de devoir faire un discours, retransmis à la radio pour celui qui manque terriblement d’assurance, qui bégaie, et pourtant George VI n’a pas vraiment le choix.
Il va faire donc preuve d’un immense courage, pour dépasser ses peurs, ses croyances et ses angoisses, inscrites au plus profond de lui-même depuis sa petite enfance.
Aller au delà de ce que l’on croit être nos limites, transcender ses démons, prendre sa place, se faire entendre, s’imposer avec dignité, être respecté, se faire confiance, tout cela dépasse le contexte historique et semble plus que jamais d’actualité, en cette époque de grands changements, non?
Pour réussir l’impossible, accepter, avec humilité, de se faire aider et accompagner dans sa démarche, par quelqu’un d’humain avant tout. Et qu’importe si les méthodes sont peu conventionnelles, si elles nous correspondent? Ca aussi c’est dans l’air du temps.
Parce que seul on arrive à rien, ensemble on est plus fort, on se révèle mutuellement et la confiance que l’on porte à l’autre aide à renforcer notre propre confiance en soi.